Une collaboration ESILV – DEMEOR pour ouvrir des jeunes à l’informatique et au numérique
L’ESILV ou Ecole Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci est une école d’Ingénieurs parisienne créée en 1995, et habilitée depuis presque 10 ans par la Commission des Titres d’Ingénieurs. On y apprend principalement les métiers relevant de l’Informatique et Intelligence de l’Information, de l’Ingénierie Financière ou encore de la Mécanique des Systèmes.
Bien qu’étant une école privée, l’ESILV a toujours été très engagée d’un point de vue social. En effet, elle accueille chaque année des étudiants boursiers, mais reste également ouverte à la voie de formation par l’apprentissage. Tout ceci dans le but de permettre aux jeunes ne bénéficiant par de moyens financiers conséquents de réaliser leur rêve académique, et d’effectuer malgré cela leurs études d’Ingénieurs dans de bonnes conditions.
C’est donc tout naturellement que l’ESILV s’est tournée vers DEMEOR (DEcouverte MEtiers ORientation), qui collecte des capitaux dans le principal but de porter assistance aux jeunes issus de milieux modestes, principalement dans le cadre de leur éducation. Un partenariat entre les deux entités a donc été mis en place, pour organiser un séjour de découverte des métiers de l’informatique et du numérique pendant les vacances de l’hiver 2012.
Les bénéficiaires de ce projet labellisé e-skills par SYNTEC Numérique seront 21 collégiens ou lycéens issus de milieux modestes dans les zones urbaines sensibles. Ce premier séjour, dont les dépenses pour chaque élève s’élèvent à 750 euros a été financé grâce à des fonds privés issus de particuliers, de la fondation OCIRP et d’entreprises mécènes . DEMEOR compte d’ailleurs sur ces dernières afin qu’elles aident à:
- Promouvoir les métiers de l’informatique et du numérique grâce à des sessions de 2h dans leurs locaux pour des groupes de 7 élèves encadrés par un animateur,
- Identifier des parrains bénévoles pour les jeunes, issus de leurs collaborateurs,
- Financer ses actions.
L’ESILV, grâce à ce projet contribuera donc effectivement à l’amélioration de la cohésion sociale et de l’égalité des chances, et interpellera concrètement les jeunes quant aux vrais métiers d’avenir.